Le rôle secret des femmes médiums pendant les guerres : un chapitre oublié de l’Histoire

On parle souvent des soldats, des généraux, des espions… mais très rarement des femmes médiums, ces conseillères invisibles qui ont influencé l’issue de conflits majeurs en agissant depuis l’ombre. Pourtant, leur rôle fut crucial : révélations, prédictions, protection spirituelle, et même guidance des chefs militaires.

Ce chapitre méconnu — ou volontairement effacé — de l’Histoire soulève une question : qui sont ces femmes qui savaient avant tout le monde… et qu’on a fait taire ?

Durant la Première Guerre mondiale, plusieurs archives secrètes rapportent que des services de renseignement faisaient appel à des voyantes pour anticiper les mouvements ennemis. Ces femmes, souvent discréditées publiquement, étaient écoutées en privé par des colonels, des membres de l’état-major et même des chefs d’État.

On retrouve notamment dans les témoignages occultes de l’époque des récits évoquant des femmes capables de :

• Localiser des troupes cachées grâce à la clairvoyance.
• Prédire des attaques ou des bombardements avec une précision terrifiante.
• Communiquer avec les soldats morts, pour transmettre des avertissements ou informations cruciales.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, plusieurs réseaux de médiums ont opéré en parallèle des services de résistance. Connues sous le nom de « sorcières patriotes », ces femmes guidaient des groupes entiers, prévoyaient les raids aériens et déjouaient les plans nazis grâce à leurs intuitions fulgurantes.

En Angleterre, le MI5 aurait entretenu des contacts avec des médiums célèbres, notamment lors de la bataille d’Angleterre. Des archives déclassifiées mentionnent des « sessions spirites » tenues dans des bunkers avec l’assentiment des officiers.

Certains médiums auraient même joué un rôle dans le projet de désinformation surnaturelle destiné à faire croire à Hitler que les Alliés contrôlaient les forces invisibles…

Car ces femmes mettaient en péril l’ordre patriarcal et les dogmes religieux. Leur capacité à communiquer avec l’invisible sans autorisation cléricale, à influencer des décisions stratégiques, à révéler des vérités que ni les radars ni les codes secrets ne pouvaient atteindre… faisait d’elles des figures dangereuses.

Le Vatican, les gouvernements et les armées ont tout intérêt à ce que ces récits ne deviennent pas populaires.

Et pourtant, ces femmes ne demandaient ni gloire ni médaille. Elles œuvraient souvent dans l’ombre, portées par un sens du devoir sacré, guidées par des forces supérieures qu’elles savaient écouter quand personne d’autre n’y croyait.

Aujourd’hui, les descendants spirituels de ces médiums sont là. Des femmes intuitives, sensibles, connectées, souvent rabaissées comme à l’époque, mais plus puissantes que jamais. Elles n’ont plus besoin de guerre pour se faire entendre : elles éclairent les âmes en quête de vérité, de guidance, de paix intérieure.

Réhabiliter leur rôle, c’est redonner aux femmes médiums la place qu’elles méritent dans l’Histoire. Une Histoire écrite par des hommes… mais souvent sauvée par des femmes connectées à l’invisible.