Les portails vaudou existent-ils vraiment ? Ce que disent les initiés

On vous parle de poupées.
De sorts.
De transes exotiques.

Mais ce que l’on n’ose pas vous dire, c’est que dans certaines traditions vaudou, le cœur du rituel n’est pas la magie… mais l’ouverture d’un portail.

Un portail énergétique, invisible pour l’œil profane.
Un passage entre les mondes, entre les vivants, les morts, et les Loas — ces puissances spirituelles qui traversent les frontières.

Et si certains lieux de la Terre n’étaient pas simplement “chargés” mais servaient de points de connexion vaudou depuis des siècles ?

Et si certains rituels modernes n’étaient qu’une copie édulcorée d’un savoir bien plus ancien, bien plus dangereux… et volontairement dissimulé ?

Un portail vaudou est un point de passage entre les mondes, ouvert par un rituel spécifique, dans des conditions précises.
Il ne s’agit pas d’un portail visible, mais vibratoire, énergétique, parfois astral.

Il peut être :

• Temporaire
  ouvert pendant un rite pour faire descendre un Loa, un esprit, ou pour libérer une entité.
• Fixe
  scellé dans un lieu naturel ou un objet rituel, gardé par un houngan ou une mambo (prêtre/prêtresse).
• Résiduel
  un portail ouvert autrefois et jamais refermé, laissant filtrer des phénomènes étranges, des présences, voire des parasitages invisibles.

Ce que les initiés répètent, c’est que chaque fois qu’un portail est ouvert, quelque chose passe… mais quelque chose reste aussi.

Certains lieux naturels ou urbains sont connus pour être des zones propices à l’ouverture des portails vaudou. Non pas parce qu’ils sont “maudits”, mais parce qu’ils sont alignés énergétiquement avec le monde des esprits.

Exemples souvent cités :

• Des croisements de routes ou chemins anciens (lieux de passage = portails symboliques)
• Des arbres sacrés ou sources cachées en Haïti, Louisiane, ou Afrique de l’Ouest
• Certains cimetières jamais déplacés, où les rituels de veillée se répètent à dates fixes
• Des maisons abandonnées où des rites ont été réalisés sans fermeture du cercle

Les Loas n’ont pas besoin de portes : ils utilisent les failles.

La réponse est simple : Parce qu’ils dérangent.

• Ils contredisent l’idée que tout peut être contrôlé rationnellement.
• Ils prouvent qu’il existe des interactions permanentes avec des plans invisibles.
• Et surtout, ils montrent que certains groupes savent ouvrir et refermer ces portails… alors que d’autres les subissent sans comprendre.

Il est plus facile d’accuser le vaudou de « sorcellerie », que de reconnaître qu’il détient un savoir précis sur les couches multiples de réalité.

Certaines sources affirment même que :

• des services secrets ont étudié ces portails à des fins de manipulation psychique
• des rituels publics ont été neutralisés par des contre-initiés
• des prêtres vaudou auraient été réduits au silence après des révélations trop précises

Ceux qui pratiquent dans le respect du vaudou traditionnel affirment que :

• Le portail n’est jamais ouvert au hasard
• Chaque Loa a sa clé vibratoire, son rythme, sa formule
• Ne pas refermer un portail correctement peut créer des déséquilibres durables (maladies, visions, “hantises”)
• Certains portails peuvent absorber l’énergie d’un lieu pendant des années, jusqu’à ce qu’un voyant compétent le referme avec précision

Dans certains témoignages confidentiels, des initiés affirment que des portails se sont ouverts spontanément après :

• des effondrements de lieux sacrés
• des conflits sanglants sur d’anciens sites vaudou
• ou des attaques énergétiques involontaires (rituels non maîtrisés)

On ne joue pas avec un portail. On le sert. On le respecte. Ou on en paie le prix.

Et si certains portails étaient aujourd’hui réactivés sans que nous le sachions ?

• Par des groupes fermés ?
• Par des objets anciens revendus sur internet ?
• Par des actes inconscients dans des lieux déjà “fissurés” ?

Une chose est sûre : les portails existent. La vraie question, c’est qui les ouvre, pourquoi… et pour quoi ?