Le tarot est-il une ancienne carte énergétique du corps humain ?

Et si les arcanes majeurs du tarot n’étaient pas seulement des symboles divinatoires… mais les reflets codés de notre anatomie énergétique ?

Et si ce jeu mystérieux, transmis à travers les âges, était en réalité une carte intérieure, un outil de reconnexion avec nos centres subtils, nos mémoires cellulaires, nos niveaux de conscience ?

De plus en plus de chercheurs ésotériques, énergéticiens et voyants s’accordent à dire que le tarot ne sert pas qu’à prédire l’avenir, mais aussi — et peut-être surtout — à naviguer à l’intérieur de soi.

Dans de nombreuses traditions, le corps humain est considéré comme un microcosme : un reflet en miniature de l’univers, traversé par des énergies, des canaux invisibles, des forces en mouvement.

Le tarot, avec ses 22 arcanes majeurs, pourrait correspondre à des points précis de notre structure énergétique, comme :

• Les chakras, pour ceux qui utilisent une grille orientale ;
• Les séphiroths de l’arbre de vie en kabbale ;
• Ou encore des zones archétypales du corps, chaque arcane étant associé à un organe, une fonction, un blocage ou une activation.

Par exemple :

• Le Bateleur (Arcane I) pourrait représenter la base de la colonne vertébrale, le point d’ancrage, la volonté d’incarner.
• La Papesse (II) serait alors le centre du ventre, siège de l’intuition et de la mémoire profonde.
• La Force (XI) s’aligne souvent avec le plexus solaire, là où naît le courage, le feu intérieur.

Et ainsi de suite, jusqu’au Monde (XXI), couronnement de la tête, ouverture à la conscience totale.

Si cette grille est juste, alors chaque tirage pourrait aussi être un miroir de notre état vibratoire.

Tirer le Diable, ce ne serait pas uniquement “vivre une tentation”, mais peut-être signaler un blocage au niveau du bas-ventre, une énergie sexuelle ou matérielle déséquilibrée.

La Maison-Dieu ? Un effondrement du mental supérieur, une purge énergétique nécessaire au niveau du crâne.

Certains praticiens avancent même que les cartes choisies correspondent aux zones du corps en tension, comme si le tarot se synchronisait naturellement avec notre aura.

Un tirage de tarot devient alors une lecture énergétique indirecte, où les cartes ne racontent pas le futur, mais le présent profond, celui que même notre esprit ne perçoit pas encore.

La question dérange, mais elle mérite d’être posée :
Et si le tarot avait été conçu comme un outil d’éveil intérieur, mais que son usage avait été volontairement réduit à la divination superficielle ?

Dans l’Histoire, de nombreux savoirs ont été fragmentés, codés, déplacés, afin de les rendre inaccessibles au plus grand nombre. Le tarot, transmis par des alchimistes, des cabalistes, des mystiques, pourrait avoir été un plan énergétique du corps sacré, dissimulé derrière des allégories.

Ainsi, chaque carte ne représenterait pas une scène… mais une porte vers une région de notre corps spirituel, une clée d’activation.

Voici quelques pistes concrètes pour une approche plus vibratoire du tarot :

• Tirez une seule carte par jour, non pas pour prédire, mais pour ressentir quelle partie de votre corps réagit.
• Posez une carte sur un chakra, méditez, et notez les sensations (chaleur, picotement, images…).
• Utilisez le tarot non pas comme oracle, mais comme outil de réharmonisation, en plaçant certains arcanes dans une grille autour du corps.

Plus vous pratiquerez de cette façon, plus vous ressentirez que les cartes ne sont pas extérieures à vous, mais intégrées dans votre structure subtile depuis toujours.

Peut-être avons-nous sous les yeux, depuis toujours, un plan sacré du corps énergétique humain.

Un langage symbolique transmis à travers les siècles, sous forme de cartes, pour nous rappeler ce que notre mental a oublié :

Nous ne sommes pas qu’un corps physique. Nous sommes vibration, structure subtile, conscience incarnée.

Et le tarot est peut-être l’un des derniers outils accessibles à tous pour explorer ce corps de lumière oublié.