L’histoire officielle aime simplifier. Elle adore enfermer les événements passés dans des cases bien rangées : superstition, fanatisme religieux, erreurs judiciaires.
L’affaire des sorcières de Salem, survenue entre février 1692 et mai 1693 dans le Massachusetts, est souvent décrite comme un simple épisode de psychose collective. Une « honte passagère » d’une Amérique puritaine encore balbutiante. Mais si l’on gratte un peu sous la surface, les choses deviennent plus troubles. Et certaines versions – volontairement effacées des manuels scolaires – laissent entrevoir une toute autre vérité. Une vérité qui dérange.

Et si Salem n’était pas un dérapage, mais une expérimentation ?
On nous apprend que les procès de Salem sont nés d’accusations d’enfants possédés. Mais posons-nous une vraie question : comment expliquer que des dizaines de personnes, dans un laps de temps aussi court, aient toutes manifesté les mêmes symptômes ? Convulsions, paralysies, hallucinations, visions… Ces symptômes ne sont pas anodins. Ils rappellent étrangement ceux provoqués par certaines substances hallucinogènes ou neurotoxiques.
Certains chercheurs ont évoqué la contamination des récoltes de seigle par l’ergot, un champignon contenant un alcaloïde proche du LSD. Mais cette hypothèse, loin d’être marginale, a été systématiquement étouffée, reléguée dans les notes de bas de page des thèses universitaires. Pourquoi ? Peut-être parce que cela remettrait en cause l’idée que la population était simplement « hystérique ». Et si l’hystérie avait été provoquée… volontairement ?
Un laboratoire à ciel ouvert ?
Les colonies américaines étaient, à cette époque, loin de l’œil des puissances européennes. De nombreux groupes religieux, sociétés secrètes et factions politiques y menaient des expériences idéologiques, théologiques… mais aussi chimiques.
Certains historiens alternatifs évoquent la possibilité que Salem ait été le théâtre d’un test de masse : manipuler les esprits, provoquer des visions, observer les réactions d’une population isolée face à un phénomène surnaturel. Cela semble tiré par les cheveux ?
Alors pourquoi autant de documents d’époque ont-ils disparu ? Pourquoi certains journaux de bord, tenus par les figures politiques locales, sont-ils restés scellés jusqu’au XXe siècle ?
Qui étaient vraiment les « sorcières » ?
L’image populaire d’une femme marginale, cueillant des plantes dans les bois, est séduisante… mais réductrice. Plusieurs des femmes exécutées à Salem étaient instruites, influentes ou guérisseuses. Certaines pratiquaient des formes de médecine naturelle ou détenaient des savoirs venus d’Europe, souvent transmis par voie matrilinéaire. En d’autres termes : elles détenaient un pouvoir. Un savoir ancien. Et ce savoir devait être éradiqué.
D’autres figures, comme Tituba, l’esclave d’origine caribéenne, pratiquaient des rituels inspirés de croyances africaines et amérindiennes. Ce sont précisément ces femmes, porteuses de connaissances alternatives, que l’on a ciblées. La chasse aux sorcières n’était pas seulement religieuse : elle était méthodique. Elle visait à faire disparaître tout savoir qui échappait au contrôle de l’Église ou de l’État colonial.
Des intérêts occultes bien dissimulés
Fait rarement mentionné : les personnes condamnées pour sorcellerie voyaient leurs biens saisis. Et ces biens finissaient, comme par hasard, entre les mains de familles influentes. Les Putnam, par exemple, furent parmi les plus fervents accusateurs… et les plus grands bénéficiaires. Le procès n’était pas qu’une chasse à la sorcière. C’était une opération de spoliation, déguisée en purification morale.
Mais allons plus loin : certaines familles qui ont émergé après les procès de Salem – enrichies, respectées – sont restées influentes durant des siècles. Certaines ont même fondé des universités, des banques, ou ont joué un rôle politique majeur. Coïncidence ? Peut-être. Ou peut-être que l’élimination des « sorcières » n’était que la première étape d’un plan plus vaste : asseoir une hégémonie intellectuelle, religieuse et économique durable.
Et aujourd’hui ?
Salem est devenue une attraction touristique. On vend des mugs, des chapeaux pointus, des t-shirts « Witch Vibes Only ». Mais pendant qu’on transforme la tragédie en folklore, qui s’interroge réellement sur ce qui s’est passé ? Pourquoi l’État américain a-t-il mis plus de 250 ans pour réhabiliter les victimes ? Pourquoi certains noms n’ont-ils jamais été blanchis ? Pourquoi, dans certains documents d’archives, retrouve-t-on des symboles alchimiques, des pentagrammes, des sceaux étranges gribouillés en marge des procès-verbaux ?
Et si Salem n’était pas un accident de l’Histoire… mais le début d’un projet secret ? Une purge intellectuelle, une opération de dissimulation, un message codé ? Les femmes que l’on a pendues ne furent peut-être pas des sorcières… mais elles savaient quelque chose. Et elles ont été réduites au silence.
👉 Réfléchis-y : à chaque époque, les « sorcières » changent de visage. Mais le mécanisme reste le même : marginaliser, isoler, accuser, éliminer.
👉 Et si aujourd’hui encore, certaines vérités étaient brûlées symboliquement sur les bûchers modernes de l’oubli ?
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